lundi 2 décembre 2013

Le Mal. (concours pour le boucher rouge toi même tu sais sisi)


Ton Mal te connaît et en échange toi tu sais rien. Tu t'y attendais même pas, tu savais pas qu'il était déjà là dans les cours de récré, dans les ombres des arbres, dans ton armoire, sous tes chaussures, absolument partout où tu passais. C'est comme s'engager malgré soi sur une pente glissante, t'as même des brefs moments de joie et d'euphorie quand t'as pas encore capté que tu vas droit dans le mur et que les choses font rien d'autre que s'accélérer. Quand t'es gosse ça va. Il t'empoisonne pas encore. Au début, il s'installe presque imperceptiblement. Petit à petit il ramène tout son bordel, ses meubles, sa télé et attend dans les coins de ta vie. Tu le vois pas tous les jours et tu penses sincèrement que tu vas t'y faire. Il fait qu'errer misérablement autour de toi. Le problème c'est qu'en général tout a déjà commencé. Il est dans ton dos, il se nourrit de toi, de la peur dans tes yeux, de tes regards craintifs, ceux que tu lances quand tu commences à le voir un peu partout, même dans ton bus, dans les boutiques ou les cinémas. Il commence à t'encercler, à t'isoler, il profite de tes moindres faiblesses, des moindres petits trucs de ta vie qui le font grandir encore et encore, et puis il se contente même plus de la peur dans ton regard. Il te bouffe de l'intérieur tout en te maintenant en vie, il va t'épuiser jusqu'à la dernière seconde, la dernière goutte. Il va juste s'acharner sur toi pendant que tu te courberas, sous la douleur, sous son poids. Tu te recroquevilleras dans ton lit, tu te cacheras sous tes couvertures, et bientôt il t'y rejoindra, te vider tout ton être, tout ce que t'as, t'auras plus rien, plus personne, même plus tes draps. Il propagera son poison noir et à la fin ça te prendra à la gorge, ça t'étouffera, pis t'arrêteras de lutter, ça sera tout, y'aura plus rien à sauver.

vendredi 22 novembre 2013

Des machins.

Recherches pour un bonhomme pour un projet vite fait
évoqué avec quelqu'un genre vite fait m'voyez.




Mon Moleskine il est même pas fait pour dessiner dedans à l'origine
mais moi je le viole à l'acrylique sans le moindre remord.



du coup j'me suis dit que peut-être j'pouvais faire un truc, avec les effets plus ou moins moches ou basiques de Picasa et tout.





Ou bien peut-être même ...


mercredi 20 novembre 2013

BONSOIR QUI VEUT DU CAFE AU LAIT. Personne parce que personne n'aime le café au lait.






Si vous arrivez pas à lire dites-vous que c'est genre vraiment vraiment pas important parce que comme la quasi totalité des choses que j'écris : ça veut globalement absolument rien dire. Donc dites-vous que c'est un truc un peu triste et pessimiste parce que je suis un ado pseudo dépressif, et aussi parce que j'avais trop de planches à faire en arts appliqués et que ça me brise les hamburger de devoir travailler chez moi, mais c'est toujours un peu niais en fin de compte, parce que je suis moi. Bref, c'est un peu con mais si ça vous plaît c'est cool et je vous embrasse beaucoup.

le bidule du bonhomme qui est en fait captain shit because of reasons,
toi même tu le sais très très bien 



Et sinon je paierais pas pour la 4G mais par contre
je voudrais bien écouter la musique de leur pub un peu plus que raisonnablement.















bref.
je risque de m'endormir devant un film maintenant.

dimanche 27 octobre 2013

Des choses.


Ce type-là a un peu gâché la page qui la suit par simple transparence, donc je vous montre sa face.










Musique qui gère légèrement plutôt pas mal du tout je l'écoute en fait en boucle putain j'adore.








Et malheureusement je me suis mise à regarde la série Sherlock,
et bien évidemment, je ne fangirl pas du tout.


*prépare un compte à rebours jusqu'au 19 janvier et fait des fanarts*

vendredi 18 octobre 2013

La capitale française.





Conclusion : Si j'habitais Paris je voudrais faire semblant de savoir m'habiller et je ne posséderais plus aucune thune tout comme ces gens ont voulu faire sauf que eux ils en ont. Pour moi en général c'est comme qui dirait "moyen" "bof" "arrrrgh je suis à plat les amis" "qui peut me prêter 30 centimes pour un café au lait", donc je fais des bisous à mes chaussures tous les soirs et je prie pour devenir un homme n'ayant que faire d'avoir plus de 6 t-shirt. et bien sûr ça ne marche pas.

Post-scriptum très beau : 
bâtards*
Et pis c'est pas péjoratif. Je suis jalouse. Portez des basket et des bonnets de marque en été je vais crier que vous vous conformer à une nouvelle sorte d'anti-conformisme et puis je ferais comme vous à la fin alors bon.




Quitte à suivre le mouvement, écoutez ça :

mercredi 25 septembre 2013

j'ai la flemme de bien faire aujourd'hui, mais pas la flemme de faire









Bon bah je poste un peu pour poster ou plutôt pour ne pas travailler, j'en sais rien, j'arrive même plus à bosser sur des illu ou d'autres projets personnels et c'est assez chiant en fait; ça fait un moment que ça dure. Et en plus il faut que je bosse car comme vous l'aurez compris ou deviner, un book ça se fait pas en 3 jours et surtout, ton avenir en dépend un petit peu quoi. Bon, en attendant, si vous avez des films à me conseiller, dîtes-en le maximum dans les commentaires !

p.s. : ouais j'écris mal et petit donc si vous arrivez pas à lire je pense qu'en cliquant sur les images vous les aurez en plus gros, et sinon, bah y'a ce vieux fond pas blanc qui dérange mais j'ai beau éclaircir les images je crois que Blogspot refuse que je fasse des trucs qui se fondent avec le fond blanc de l'article... Tant pis.



Le tout nouveau clip de C2C qui déchire plus que légèrement.
J'approuve fois mille.

dimanche 22 septembre 2013

samedi 14 septembre 2013

C'est quelle station déjà ?




Ouais le petit piège c'est que "tired" ça veut dire fatigué en anglais.

Je vous poste ce truc à la va-vite parce que j'ai l'intention d'approfondir ces quelques pages pseudo-dépressives.
Une nuit j'ai fait un cauchemar là-dessus, et j'habite même pas Paris, je prends pas le métro dans la vie en général.
Juste, une fois, quand j'étais sur Paris y'avait eu un retardement, on était restés bloqués une demie-heure dans le métro.
Et disons que j'étais vraiment mal en m'imaginant que ça pouvait être un suicide, ou que si c'en était un, 
ça aurait été le même message, la même attente, et les mêmes gens qui se plaignaient.